lundi 1 novembre 2010

Vanquish: Le test

Non malheureusement je ne vais pas vous promener à bord d'une Aston Martin, mais plus humblement vous parler du dernier jeu survolté de SEGA sorti fin octobre : Vanquish.




La pitch: Dans un futur proche où l'Espace est devenu le nouvel eldorado des grandes puissances, la Russie a déclenché un conflit et occupe illégallement des colonies spatiales. Sam, le héros que vous controllez est un "marine" américain un peu spécial. Il est en effet revêtu d'une armure de combat qui lui permet de défier les lois de la nature: Vitesse, armes surpuissantes, furtivité, précision, souplesse et blindage sont les caractéristiques de ce super soldat envoyé en première ligne avec l'infanterie pour faire la ménage.



Un scenario basique, a mi-chemin entre Star Wars, Starship Troopers et l'univers des "mécha", ces robots de guerre japonais déjà héros de nombreux animes et jeux vidéos. Rien de bien transcendant me direz vous.


Oui mais c'est au niveau de la réalisation et du game play que Vanquish trouve son intérêt principal. Réalisation hyper nerveuse, graphismes d'une fluidité et d'une beauté remarquables, bande son qui va avec, le titre fait un sans faute de ce côté là.


La prise en main de ce guerrier/robot aux possibilités infinies est également très simple et intuitive. Si l'on hésite au début, en se montrant prudent, à exposer Sam aux nombreux tirs ennemis, les arsenals dont on dispose au fur et à mesure, la vitesse d'action et de déplacement du héros, sa resistance et sa précision dans les tirs en font une véritable arme de dissection massive que l'on se régale à manipuler dans tous les sens.

Le jeu se déroule en mode de vue proche d'un Metal Gear Solid, les niveaux sont courts mais intenses et les boss, monumentaux et difficiles à souhait, apportent le grain de défi supplémentaire et de temps de jeu en rab' dont manque un peu ce Vanquish.

Hypertestosteronné, nerveux voire epileptique, les petits gars de SEGA ont fait fort avec ce Vanquish qui révolutionne complétement le jeu d'action/tir en créant un personnage dont les possibilités semblent infi et les déplacements/enchainements s'effectuent avec une fluidité et une rapidité jamais vues, sans le moindre ralentissement. De la très belle ouvrage.

Et puis je n'ai pu m'empecher de voir en Burns, un petit clin d'oeil au Barney de Final Fantasy 7. C'est peut être le fruit de mon imagination mais c'est le genre de petit détail qui vous fait accrocher à un soft...mon côté sentimental sans doute, snif.

Un petit coup d'oeil sur le trailer officiel finira de vous convaincre:



Merci a Nico de SEGA France pour ce bien sympathique présent et bien sûr à Briçou pour son invitation VIP au Paris Game Week.

Allé je m'en vais fusiller quelques droides ruskovs...

2 commentaires:

tarik a dit…

"nerveux voire épileptique"... c'est tout à fait ça. Vous êtes brillant mon bon ami..

Jean Baptiste Brunet a dit…

@tblo: t'a testé???
Et au fait le déj c où tu veux quand tu veux